Le temps de médire notre ciel,
me désoler que grandir se compte en larmes
Tempérer d'un zenith de peintre
Je tourne la tête, et un rayon s'impose au crachin
Vincent à gagné
Il assaisonne les matins creux
Ainsi soit il
J'enfourche ses embrasements
J'aluni dans l'or de sa nuit
sa folie triomphe de mes renoncements
Wednesday, March 29, 2006
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